MES AFRIQUES
Presse
La Provence. Jean-Rémi Barland : "Toutes les
Afriques de Paule Constant"
ElleLivres : "Mes
Afriques de Paule Constant : Envoûtant"
Radio Notre-Dame.
Jean-Claude Perrier : " Un livre, Une Voix : Paule Constant, pour
'Mes Afriques' "
France-Inter.
Augustin Trapenard : "Boomerang : Paule Constant(e)"
Michèle
Gazier : Dans l'invention du roman
France Ô. Daniel Picouly : "Page 19 : Paule
Constant"
La Croix. Metin Arditi : "Paule Constant,
rescapée de l'enfance"
L'Amour
des livres : "Mes Afriques, de Paule Constant"
Le Figaro littéraire. Mohammed Aïssaoui : "L'Afrique au cœur"
L'Express. M. P. : "Mes Afriques, par Paule Constant"
Irène Frain, pour Paris-Match : Mes Afriques, de Paule Constant"
Le Monde
des Livres, Raphaëlle Leyris
Jean-Rémi
Barland : "Toutes les Afriques de Paule Constant"
Radio Notre-Dame,
19 février 2019 : "Un Livre, Une Voix".
"Un
Livre, une Voix", émission de Jean-Claude Perrier : Paule Constant,
pour "Mes Afriques"
France-Inter, 26 février 2019.
"Boomerang",
émission d'Augustin Trapenard : "Paule Constant(e)"
Mes Afriques, de Paule Constant : "Dans l'invention du roman"
France Ô, dimanche 17 mars 2019.
"Page 19", émission de Daniel Picouly : "Paule Constant"
Actualité du roman.fr/Actualités littéraires/Romans voyageurs, 21 mars 2019
Mes Afriques, de Paule Constant
Le Figaro littéraire, 20 avril 2019
Mes Afriques,
par Paule Constant
Irène Frain, pour Paris-Match, 15 avril 2019
Mes Afriques, de Paule Constant
L’annonce
d’un cancer, dit-on, et la vie bascule. Dans ce moment terrible, qu’elle
a vécu, Paule Constant voit maintenant l’aube d’une résurrection. Elle
n’a pourtant pas échappé au maëlstrom d’émotions qui aspire généralement
le malade à l’énoncé du diagnostic : angoisse, hyperémotivité,
sensation d’asphyxie, conviction d’être exclu du monde dit «
normal ». Sans compter l’effroi en miroir dans le regard des
autres : le cancer dérange. Alors en parler, ne pas en parler? Si
oui, quand ? Pendant les chimios ? Après les rayons ? Et
à qui ? Jurée assidue et passionnée du prix Goncourt, elle se
savait guettée. Et n’ignorait pas non plus que la République des
lettres, supposée « peace and love » dès lors qu’il ne s’agit
pas d’assassiner les livres des confrères, n’est pas toujours aussi
compassionnelle qu’on peut l’imaginer.
Irène Frain.
Le Monde des livres, 16 avril 2019
Mes Afriques, de Paule Constant
Ces pages étrangement sensuelles sur son cancer du sein annoncent la
dimension intime de cette édition, qui place ces livres de Paule
Constant «en perspective de [sa] vie»,
alors
même que tout le processus romanesque a consisté pour elle en « une
mise à distance d’une réalité insoutenable » - celle vécue dans
son enfance passée à suivre un père médecin militaire dans ses
affectations en Guyane française, au Cameroun, en Tunisie et à Djibouti.
De cette volonté de «mise
à distance » témoigne notamment l'humour de ces
Ces romans, publiés chez Gallimard entre 1980 (Ouregano)
et 2016 (Des chauves-souris...),
n’apparaissent
pas dans l'ordre chronologique de leur parution, mais dans celui,
biographique, des événements auxquels ils sont liés. Tous bénéficient de
présentations éclairantes par l’auteure. La richesse de ce « Quarto »,
dans les textes écrits pour lui comme dans les documents proposés en
annexe, est frappante. Nombre d'entre eux permettent de comprendre la
relation de Paule Constant avec la notion d’œuvre, et comment elle a
bâti la sienne depuis son premier roman, Ouregano.
Romain Gary en salua, dans une lettre, la « réussite complète». Il y
prédisait à l'auteure un « Goncourt
mérité ». Elle l’a reçu, en 1998, pour un livre extérieur à ce
cycle africain, Confidence pour
confidence, mais la polémique soulevée par le fait qu’elle l'avait
« soufflé » à Michel Houellebecq et à ses Particules
élémentaires (Flammarion) a pu faire oublier que Paule Constant
était une véritable écrivaine. Mes
Afriques en donne d’éclatantes preuves.